Ultimate spacie with knee
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Contributors had been invited in particular to explore the relationship between their feminist identity and their religious beliefs. In 1983, British feminists Sara Maitland and Jo Garcia edited Walking on the Water (London: Virago), a collection of “essays, stories, poems and pictures by women about spirituality”.
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Prenant comme point de départ l’idée que “les identités du lieu sont toujours variables, attaquées et multiples” (Doreen Massey), cet article se concentre sur les efforts que déploient ces écrivaines pour affirmer l’identité spirituelle des femmes contre les frontières rigides de l’espace social. Quel que soit le choix personnel de ces auteures, la spiritualité chrétienne se révèle être un facteur clé pour déterminer le lieu précis qu’elles - ou leurs héroïnes - occupent dans le monde social. Dans ces écrits, Maitland et Roberts ont un objectif commun qui est de renégocier la place des femmes dans l’histoire chrétienne dont elles reconnaissent – il est vrai à partir de perspectives différentes – la dimension fondatrice de l’identité occidentale contemporaine. Il se propose, dans une perspective comparatiste, d’analyser d’une part le recueil de nouvelles de Sara Maitland intitulé A Book of Spells, et d’autre part, le roman acclamé de Michèle Roberts, Daughters of the House. Néanmoins, alors que Maitland tente essentiellement de revisiter le christianisme en y incorporant les points essentiels d’une idéologie féministe, Roberts sent le besoin impérieux de se défaire de son identité religieuse afin de devenir indépendante en effet, dans son autobiographie Paper Houses (2007) elle décrit son éducation catholique comme “autoritaire et misogyne” (16).Ĭet article explore les façons dont l’identité spirituelle se construit dans le jeu complexe des interactions entre féminisme et foi. Ces deux écrivaines, qui se sont activement impliquées dans les mouvements féministes des années 1970, ont toutes deux lutté pour se réconcilier avec leur héritage chrétien.
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Le ton de ces contributions varie fortement, allant de l’envie passionnée de concilier les objectifs du féminisme avec le christianisme à un rejet total de l’Eglise comme institution patriarcale suprême.Ĭet article met en dialogue des récits diamétralement opposés du rapport entre christianisme et féminisme en s’intéressante plus particulièrement à deux des contributrices, Sara Maitland (1950 - ) et Michèle Roberts (1949 - ). Les contributrices ont été en particulier invitées à explorer la relation entre leur identité féministe et leurs croyances religieuses. En 1983, les féministes britanniques Sara Maitland et Jo Garcia ont publié Walking on the Water (London : Virago), une collection d’essais, de récits, de poèmes et de photos produits par des femmes sur le thème de la spiritualité.